Musique
• Œuvre phare de la musique minimaliste, « In C » de l’Américain Terry Riley, est mis en vibrations et transes rythmiques par le collectif La Nòvia. A découvrir au Festival de la Cité et sur le net.
Photo
• A Slab City, plus grand squat à ciel ouvert des Etats-Unis, des déshérités survivent sous le regard empathique de Laura Henno alors que la révolte fonde des mémoires entre textes et images comme des collages dadaïstes chez Aurore Valade. A découvrir cet été aux rencontres de la photographie d'Arles.
Danse
• «Gala», de Jérôme Bel convie des anonymes, amateurs et professionnels, à créer un spectacle dansé. La démarche est aussi ambigüe que stimulante. A découvrir notamment en août au festival de La Bâtie, à Genève.
Musique
• A la Cave 12 de Genève, l’Américaine a joué son dernier album «Lost in Shadows». Son écoute vous empêche de faire quoi que ce soit d'autre. Excepté vous pencher en lisière de larmes dans un bouleversement de l’être d’une indicible douceur et fraîcheur.
Musique
• En concert à la Cave 12 de Genève, la possible «Björk japonaise» a délié des paysages ambient et contemplatifs pop d’une sidérante inventivité. Entre zénitude et sourde inquiétude.
Danse
• De la résistance de l’humain à l’engloutissement au travers de danseurs sautillants dans l’effort continu, le Ballet Junior enchaîne les tableaux vivants.
Théâtre
• «Le Rêve de Vladimir» évolue entre une vision enthousiaste de l’énergie du pionnier révolutionnaire et la critique d’un Lénine bolchévique-autoritaire, opportuniste, qui permit Staline.
Suisse
• Le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) veut mettre fin au financement du matériel suisse de guerre par la BNS, les fondations, ainsi que les institutions de prévoyance publique et professionnelle.
Photographie
• La croyance en la confiance dans le monde et le pardon post-génocide sont explorés au Journées biennoises de la photographie, parmi plus de vingt autres expositions.
DANSE
• N’être plus là pour personne, être dessaisi de son existence, «dé-naître» jusqu’à renaître en robot. Et s’effacer avec discrétion jusqu’à la mort comme apaisement éternel. Tels sont les vertiges qu’explore la chorégraphe et danseuse la plus populaire du moment, Kaori Ito.